Professeur McCally
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Feuille de personnage
Ami(e)s: Sandra Jarrow & les élèves du sites
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Particularités: Elle à les cheveux brun ; des yeux brun eux aussi. Elle à 22 ans et à une soeur jumelle.
 |  Sujet: Ecrivez-vous ?  Dim 30 Mar - 9:59 | |
| Par "écrivez " je veux dire toutes les formes d’écritures possibles. Que se soit un rp réussis, un livres, des citations ou des proverbes. Ecrivez-moi tous ce qui vous sort par la tête ! (appart des conneries) Pour ma part, j’ai « commencé » un livre sans vraiment savoir où il va me mener. Je n’ai écris que les deux premiers chapitres et j’aimerais votre avis un peu sur le début. Et, aussi, si vous avez des idées pour des noms pour mon héroïne ? :p Oh et, je me suis inspirée de sa manière d’écrire, j’ai été tellement charmée par son livre que j’ai pris quelques bonnes idées pour rédiger le miens (je ne pense pas que se soit pour autant du recopiage si ?) C’est surtout la façon de dire « je » tout le temps, en faisant comme vivre à la place de la personne. (le livre en question : http://homosapiennes.skyrock.com/ ) Mon livre qui n'a pas encore de titre et qu'on ne peut pas encore parler d'un "livre" étant donné qu'il n'y à que deux chapitres :Partie 1 :
« Tiens ! Ta caisse de livres ! » Je me retourne et attrape la caisse en carton que l’on vient de m’envoyer à la figure, carton qui contient apparemment mes livres. Je regarde mon frère avec des yeux désapprobateurs. J’y tiens super fort à mes livre et surtout que quand je l’ai attrapé je me suis sentie valser en avant, tellement que j’ai cru que ma colonne vertébrale allais craquer. J’ai envie de poser la boitte et d’aller lui arracher les yeux tout en lui dictant un texte sur le respect des affaires des autres. Il commence à m’applaudir et à essayer de me flatté parce que j’ai de meilleurs reflex. Le pire, c’est que sa semble le faire rire et, lorsqu’il reprend un second carton, j’esquisse le mouvement de poser la mienne afin de me préparer à un autre lancer. Bien sûr, ma réaction le fait de plus en plus marrer et il s’affale sur le sol pour pouvoir se rouler sur le sol tout en se marrant et surtout pour m’énerver aussi ! Je lui réponds par un rire sarcastique pendant que mon père me dit d’arrêter de jouer et de ranger mes affaires, en me faisant une petite tape dans le dos. Je le regarde avec des yeux révoltés qui veulent dire : « mais, je te jure, j’ai rien fait ! C’est ton andouille de fils qui… ! » Mais, sans pouvoir continuer ma dites « phrase des yeux » il me répond, de la même façon, avec son regard : « Oh joue pas aux jeux des yeux avec moi et fait ce que je te dis de faire ». Je me résigne tout en laissant tout de même échapper un soupire lassé. Je prends la boite de carton que mon frère m’avait envoyé et, malgré que j’ai réussi à l’attraper tout à l’heure, je la relaisse tomber, elle est bien trop grande ! Enfaite, J’n’avais pas remarqué qu’elle était aussi lourde et puisqu’elle était plutôt longue en largueur il faudrait pouvoir la retourner pour la passer dans la porte sans abîmer mes livres. Je partage mon problème avec mon père qui est derrière moi. Problème qui augmente l’hilarité de mon frère. J’ai bizarrement l’envie de lui renvoyer le carton sur la tête, dommage que celui-ci soit beaucoup trop lourds. La solution serait, d’après mon père, de vider le carton sur la pelouse tout en allant porter livres par livres jusque dans ma chambre, pour pouvoir le vider petit à petit et, ensuite, il replierait le carton, tout simplement. Mais, puisqu’ils ont besoin de moi il me dit de la poser sur la pelouse, qu’on s’en occuperait plus tard ce qui signifie, dans le langage de mes parents, que JE m’en occuperais plus tard. Je soupir une nouvelle fois et pose la caisse sur la pelouse puis je me dirige vers le coffre de la voiture où j’attrape une boîte comportant plusieurs affaire à mon frère. Très bas dans ma tête une petite voix me dit de ne pas lui renvoyer sa monnaie de sa pièce et une autre, qui se fait très bien entendre, qui crie haut et fort « Vas-y prend ta vengeance ». Je le regarde, il est toujours entrain de se rouler de rire sur le sol, mais je le connais bien, c’est du bluff pour tenter de m’énerver. Ma mère arrive juste quand je m’apprêtais à la lui lancer à la tête, je me retiens donc alors que j’avais déjà les bras en l’air et la petite boîte au dessus de la tête. Je me retourne vers le coffre et faut automatiquement semblant de prendre l’une ou l’autre boîte. Réfléchir et vite à une solution pour pouvoir tout de même me venger. J’empile l’une ou l’autre caisse tout en réfléchissant. Aucune d’elle ne sont pas bien lourde et l’idée me viens assez rapidement, J’ouvre celle avec les affaires de mon frère et la retourne tout en faisant attention à ce que ses affaires ne se déverse pas, ou du moins, pas ENCORE ! « Allé Frédérique, relève toi et aide ta sœur » Il obéit, de toute manière sa ne sert à rien de faire la comédie « Quesque j’peux prendre ? » aussitôt qu’il dit sa je lui mets dans les bras la petite pile de carton que j’avais préparé (par petite je veux dire deux cartons). Un sourire vengeur mais discret se dessine sur mes lèvres et lui il semble être ennuyer car la situation l’échappe totalement. Il mes souris, se doutant tout de même de quelques choses, alors il entreprit de tâter un peu les surface des boîtes pour anticiper mais ma mère le pousse un peu pour qu’il se grouille. Je prends une autre boîte avec mes livres (qui se trouve tout aussi lourd que la première) et je vais la poser, tant bien que mal, à côté de la première tout en regardant mon frère faire. Mon père lui fonce dedans sans le faire expert et tout le contenu du carton de mon frère tombe à terre et mon père regarde avec un air perplexe ce qui se trouve au sol et, comme s’il avait quelque chose à caché (ce qui n’est pas le cas), mon frère se jeta sur les quelques bricoles pour les casser tout en faisant attention à ne pas casser l’autre carton. Sa faisait un peu cliché, sa me faisais bizarrement penser à une émission que je regardais quand nous n’avions pas encore déménagé. Entre autre le fils était bizarre et le père ne le comprenait jamais et c’était bien marrant à certains épisodes. C’était à mon tour de rire, j’étais à présent pliée en deux tout en ne pouvant plus m’arrêter, en fait, je n’aurais pas pensé que sa se passerais comme ça et que ce qui se serais vraiment passé aurait exaspérer mes parents et que sa n’aurait rien fait à mon frère. Comme à chaque fois que j’éclate de rire, je pleure, je pleure de rire, ouais, et après je deviens toute rouge, systématiquement. Vous devez vous dire que ce n’est pas drôle mais forcément sa l’était bien plus en vrai, surtout à la réaction de mon père qui me regarde comme si j’avais tort de rire alors je mors doucement ma lèvre intérieur afin de parvenir à m’arrêter, au moins pendant une petite minute, allez courage, j’arrête de respirer, par reflexe sûrement, mais je n’arrive pas à le tromper et je dois avouer qu’il me connaît assez bien pour s’en rendre compte « Ce n’est pas finis tout les deux ?!» ça devient plus fort, que moi, je sens des picotements sur le bout de mon nez et je ne me retiens plus et éclate une nouvelle fois de rire. Il se dirige vers moi pour se remettre au travail tendit que mon frère ramasse toute ses affaires. Mon père se résout alors à ne plus essayer de nous empêcher de rire, sa ne sert à rien, il n’y arrivera pas et il le sait bien, par contre il peut toujours essayer de nous faire travailler ! Il me dit d’aller porter tel ou tel boîte à ma mère et il me dit de lui dire d’amener le cutter dans leur nouvelle chambre, qu’il à mit quelques boîtes sur le lit. J’y vais, toujours en me marrant et je n’arrive plus à m’exprimer pour faire passer le message à ma mère. C’est là que mon frère rentre aussi dans la cuisine, il semblait s’être calmé mais à peine il rentre qui laisse échapper un pouffement et qu’il recommence à se marrer, et comme il voit que je rame en rapportant le message vocal il essaie lui aussi de dire ce que j’ai à dire à maman, mais le résultat n’est pas meilleur et elle, sa ne la fait pas rire, elle à les yeux comme deux balle de bowling et est complètement désarçonnée la pauvre. Enfin on arrive à lui faire comprendre qu’il s’agit du cutter et que c’est papa qui à dit que… et rire. Elle abandonne et va donner le cutter en main propre a mon père pendant qu’on se marre encore mon frère et moi.
Dernière édition par Professeur McCally le Dim 30 Mar - 13:51, édité 2 fois | |
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