Visite chez la psychologie.

Marion tournait en rond, elle avait besoin de se confié à quelqu'un qui ne la jugerait pas. Elle avait peur, et craignait de la reaction des autres. Une boule dans son ventre se forma, même la lecture n'arrivait plus à lui faire oubliée, elle ne pouvait pas gradé cela pour elle...L'adolescente alla dont à l'étage du bureaux de la psychologue. Elle marchait doucement partagée entre le doute, la peur, le regret et le désarroi, tête baisser, elle avait qu'une seule envie pleurée, sur son sort et sa vie pitoyable, elle avait l'impression de foncé dans un mur qui l'empêchait toutes bonne reflétions et initiatives. L'adolescente tourna la tête et regarda le papier pain une couleur beige avec de léges motifs en spirales y étaient dessinés. Mais elle n'oubliait pas elle y arrivait pas, elle se prit la têts dans ses bras s'accroupi et rien, elle aurait voulut éclaté en sanglots pour tous évacuée, mais a jeune élève était trop fière pour ça.Elle se redressa avec l'intension de frappée à la porte de Sandra Jarrow, son professeure préféré, une femme or du commun qui s'investissait dans Great-Green du mieux qu'elle pouvait le faire, en même tant douce et sévère elle arrivait à faire respectée l'ordre d'un main de chef.Marion arriva devant la porte de la psychologue, maintenant la seule question s'était de savoir si elle n'allait pas regrettée de ça, elle leva son bras, sa main moite formée en poing hésitant toujours elle donne trois petits coups, et attendit qu'on lui ouvre. La seule odeur qui regnait était celle du nettoyait de carrelage que la femme de ménage avait du utilisée le matin même.
Apparemment personne était dans le bureaux, un bureaux que autre fois elle s'était amusée avec Mathilda et Helena à dérangée et à foutre la bazard. La jeune fille n'avait jamais avoué que c'était elle, mais les remord ne lui avait pas maquée à l'époque. Sur cette pensé elle se pinça les lèvres en signe de remords. Comme on ne lui ouvrait pas, la jeune élève qui avait prévue le coups avait prit un livre de science-fiction, qui racontais la vie de humains dans cinq milles ans et qu'on habiterais dans la galaxie d'Andromède sur une jumelle de la Terre sauf que celle ci était habitée par de mutants... L'adolescente s'assit sur le rebord de la fenêtre en face de la prote du bureaux de madame Jarrow, l'attende lui semblait insupportable ses mains toujours moite semblait dérapées sur les pages en les tournants, elle avait beaux essayé de se concentrée sur les lignes du livre elle n'y arrivait pas c'est comme si elle oubliait se qu'elle venait de lire a chaque fois qu'elle venait de lire deux mots, l'histoire n'avait pas de sens. Elle décida d'abandonnée, la lutte à la compréhension, et et mit son front sur ses genoux sur l'appuie de fenêtre en s'adossent sur le pan du mur assé large. Des idées lui venait elle pouvait toujours faire demi-tours. Et se dépêchée de rentrée dans son dortoir. Mais elle ne bougea pas, elle avait besoin d'aide elle le savait, bien qu'elle se sent mal Marion avait toujours les pieds sur terre et savait se qui était mieux pour elle, et pour l'instant elle avait besoin d'aide s'était plus qu'une évidence.Elle releva brusquement la tête quand elle entendit un pas lège dans les couloirs, la jeune fille était sur que s'était Sandra. Elle se leva avec des fourmis dans les jambes mais malgré ça elle fit mine d'attendre près de la porte du bureau.

Professeur Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 12/01/2007

Sandra était dans la salle des professeurs et riait à toutes les blagues que nous sortait Julien le professeur d’art. Ils durent tous aller à leurs cours et Sandra fit pareil. Elle rejoignit donc son bureau emportant avec elle son café. En tournant sur le dernier coin du couloir avant d’arriver à son bureau elle découvrit la jeune Chapman dans un état navrant. Sandra s’empressa de la rejoindre et mit sa main derrière son dos afin de l’accompagné jusqu’à son bureau. Elle ferma la porte après être entré et fit signe à Marion de s’asseoir tout en prenant, elle aussi, place derrière son bureau.
Elle la regarda un instant.

-Tu veux quelque chose à boire ?

Marion regardait le professeur arrivé et ouvire le porte et rentré dans le bureau de celle ci. La pièce était grande, les mur était d'un beige foncée et chaleureux, deux petite armoires se trouvait d'un fond du bureau, celles ci rempli de livres. Elle s'assit sur la chaise, ses yeux fixait ses genoux. Madame Jarrow lui proposa quelque chose à boire, elle refusa d'un ''non'' de la tête, elle n'osait pas regarde la psychologue dans les yeux, elle prit son courage à deux mains. Mais les mots restait bloquée dans sa bouche. Elle redressa la tête, se releva et souleva son t-shirt pour juste montré son ventre, celui-ci était couvert de bleus, la jeune fille murmura doucement mais d'une triste et hésitante:
-Il m'a frappé..., pendant les vacances..., mon père..., Adoptif'.
L'adolescente habille d'un jeans foncée et d'un haut bleu indigo, se demanda si ça avait été une bonne idée de parlée de cela à quelqu'un. Marion remit son t-shirt convenablement extrêmement gênée mais malgré ça elle se sentait soulagée, comme si elle voyait la fin du tunnel elle ne savait pas comment s'en sortir maintenant elle savait que grâce à son professeur elle verrait peut-être la fin de se cauchemars. Cette fois ci elle souriait presque, ça faisait du bien de parlé à quelqu'un. Mais elle n'osa toujours pas regardé Sandra Jarrow, mais elle imaginait bien la femme assise à son bureau en train de la regardé de ses yeux vert clair et percant avec ses long cheveux roux qui lui encadrerait le visage. L'adolescente ne dit rien, elle attendit juste que Son professeur se met à parlée et à lui conseillé ou peut que Madame Jarrow savait arrangé son problème. D'un mauvais tic, Marion frappait du pieds d'un ''tam tam'' incessant, elle était encore angoissée, se qui entre nous est tout à fait normale...

Professeur Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 12/01/2007

Sandra fut choquée par les bleus qui couvraient le ventre de la jeune adolescente. Elle se dirigea vers un mini frigo qui contenait toute des boissons. Elle prit une bouteille d’eau et vient prêt de Marion et lui tendit la bouteille.

- Boit c’est bien, sa détend. Et assois-toi veux tu ?

Elle aussi alla se rasseoir. Marion avait fait preuve de beaucoup de courage pour venir la voir et c’était très mature et autonome de sa part.
Elle la regarda un moment le temps que la jeune élève se remette de ce qui venait de se passé. Une fois que cela fut fait elle reprit la parole.

- Il te bat donc ? Tu en as parlé à quelqu’un d’autre ?

Marion accepta la boisson, et but doucement avec de petites gorgées comme pour la faire durée longtemps, elle sentait le liquide froid coulé à l'intérieur de sa gorge sa la rafraichissait, et sa masqué son trouble, quand elle entendit la question de son professeur:

- Il te bat donc ? Tu en as parlé à quelqu’un d’autre ?

La jeune élève réfléchit à ce qu'elle allait dire, elle fit un lègé mouvement de tête puis répondit de la même manière qu'avant:

-Oui...C'est bien cela,...il me bat,ses dernières mot restait presque coincé dans sa gorge, elle rajouta,

non,... j'en ai parlée qu'a vous.

Traquasse la jeune fille restait immobile, elle se sentait mal, maintenant ses c'était accroché à la fenêtre où un petit moineau s'était déposé sur un branche d'un arbre gelés qui surplonblait le lac, celui ci était en train de mangée des grains qui se trouvait dans de petites bourse vertes...

Marion dit alors:

-Je dois faire quoi?

Si on trouvait une autre famille à l'adolescente elle ne reviendrait plus jamais à Great-Green, et ça elle ne le voulait pas, bien que cela puisse être considerée comme étrange, que l'on soit attaché à son école mais c'était le cas de la jeune fille.

Marion reprit la bouteille d'eau et se remit à la boire de la même manière que l'a première fois qu'elle l'avait pris dans la main. Et comme depuis qu'elle était rentré dans cet pièce elle n'avait toujours pas regarde La psychologue dans les yeux...

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On sentait que la jeune fille était stressée, bien pire même. Elle se décida alors de l’aider à ce calmé. « Du calme… Ici nous sommes dans un bureau, il n’y à aucuns ninja dans les placards. Essaie de te calmer, bois un coup d’eau. Sa ne sers à rien de se stressé inutilement. » Une fois qu’elle vu que la jeune fille s’était légèrement calmé (assez pour ne pas s’accrocher aux meubles) elle reprit la parole. « Avant de pouvoir te guider dans ta décision j’aimerais que tu me parle un peu plus de ton père adoptif et de comment il à commencer à te faire ses choses. Et aussi si tu souhaiterais pouvoir t’en aller et quels sentiments t’éprouve à son égard… »

» Petite visite [libre]