ça va venir puis ça va venir ne nous décourageons pas

Alexis se promenais dans le parec. Il écoutais de la musique et la chantais.

-Les amis je vous l'assure que le temps est bien dur
Il faut pas se décourager ça bien vite commencer
De l'ouvrage y va en avoir pour tout le monde cet hiver
Il faut bien donner le temps au nouveau gouvernement

Ça va venir pis ça venir mais ne nous décourageons-nous pas
Moi j'ai toujours le coeur gai pis je continue à turluter

On se plaint à Montréal après tout on est pas mal
Dans la province de Québec, on mange notre pain bien sec
Y'a pas d'ouvrage au Canada, y'en a bien moins aux États
Essayez pas d'aller plus loin vous êtes certain de crever de faim

Ça va venir pis ça venir mais ne nous décourageons-nous pas
Moi j'ai toujours le coeur gai pis je continue à turluter

Ça coûte cher ce temps-ci, y faut se nourrir à crédit
Faut pas que ça monte à la grocerie, je me rabats sur les biscuits
Mais je peux pas faire de l'extra, mon petit mari ne travaille pas
À force de me priver de manger, j'ai l'estomac ratatiné

Ça va venir pis ça venir mais ne nous décourageons-nous pas
Moi j'ai toujours le coeur gai pis je continue à turluter

Me voilà mal emmanchée, j'ai des trous dans mes souliers
Mes talons sont tout de travers pis le bout qui retrousse en l'air
Le dessus est tout fendu, la doublure est décousue
Mes orteils passent à travers c'est toujours mieux que ne pas en avoir

Ça va venir pis ça venir mais ne nous décourageons-nous pas
Moi j'ai toujours le coeur gai pis je continue à turluter

Le propriétaire qui m'a loué, il est bien mal emmanché
Ma boîte à charbon est brûlée et puis j'ai cinq vitres de cassées
Ma lumière disconnectée pis mon eau est pas payée
Y'ont pas besoin de venir m'achaler, m'a les sâprer en bas de l'escalier

Ça va venir pis ça venir mais ne nous décourageons-nous pas
Moi j'ai toujours le coeur gai pis je continue à turluter

C'étais une chanson de la bolduc oui mais ça refletais sa vie, en partie.

Il s'assit sur une roche et attendit les yeux fermé. Il entendit une parsonne s'assoire et n'ouvrit point les yeux.

-Allo.

Il n'ouvras pas les yeux et ne savais qui s'étais mais il savais qu'il y avais une personne.

Il attendais la réponce.

(Faire des fautes d'orthographes passe encore, mais les faire expret et de plus dans un titre sa devient extrêmement désolant. Et ça ne donne pas envie de lire ton message, maintenant je dit ça je dit rien.)

(ce sont les vrai paroles pour la chanson)

Helena Powell a écrit:: (Faire des fautes d'orthographes passe encore, mais les faire expret et de plus dans un titre sa devient extrêmement désolant. Et ça ne donne pas envie de lire ton message, maintenant je dit ça je dit rien.)

( Je dis ça je dis rien =X )

Marion ne dit rien, elle ne pouvait parler, comme si une barrière coinçait tous les sons qui pouvaient sortir de sa bouche.
Dans son silence elle resta immobile.
Sauf peut-être ses genoux qui tremblait, un tremblement incontrôlable.
Son cœur battait fort dans sa poitrine, qu’elle avait l’impression qu’il allait éclater.
L’estomac retourné, comme une sorte de grosse carapaces dans le ventre qui semble s’amplifié, dans un stresse méconnaissable, elle resta planté la, à le regardé, comme une enfant qui découvrait le monde, une petite enfant qui découvert quelque chose de merveilleux.
L’amour le véritable le vrais celui qui restait dans creux des intestin.
D’un pas mal assuré, qu’elle essayait de rendre plus naturelle possible elle s’approcha de lui ne disant rien, l’écoutant à peine dans sa tête une description précise se faisait de lui.

Il était pâle presque maladif, mais cela arrangeais Marion, il remuait doucement, et ses cheveux bougeaient, la jeune ne regardait presque que ça pendant un moment. S’il n’avait pas été assit l’adolescente se serait retrouvé avec un type de trois bonnes tête en plus qu’elle.
Puis l’envie de s’assoir près de lui, lui vient. Presque immédiatement celui-ci répondit :

-Allo

Marion ne dit rien de sachant que dire. Lui répondre un simple bonjour lui semblait un exploit à accomplir. Pendant un moment, elle ne dit rien.

Puis elle essaya malgré elle de resté zen et naturel, elle prit une inspiration et souffla un bonjour.
C’est a cette instant qu’elle aurait voulu partir en courant c’est à ce moment là qu’on se demande pourquoi a-t-on fait quelque chose de
si stupide ?

Encore une fois malgré elle, elle resta là.

Peut-être à attendre bêtement qu’il ouvre les yeux ?

Lorsqui'il entendit enfin le bonjour, il savais a qui il parlais. Il l'avais reconu.

-Alors, on est timide?

Il n'avais toujours pas ouvert les yeux.

Elle ne parlais pas, elle restait sur ses gembes qui tremblais.

-Qui as t'il, le chat a mangé ta langue?

Il ne savais pas si elle alais comprendre car c'étais une expretion de chez lui.

-Marion?

Il ouvrit enfin les yeux.

Il se tassat pour laisser une place a son amie et aussi pour que ses gembes secent de tremblé.

-ça vas? Vien et assis toi.

Il la laissat répondre et il attendit.

-Alors, on est timide?

Juste sur cette phrase Marion n’avait déjà qu’une seule envie. Partir. Pourtant elle resta là. Elle ne dit rien comme perdue dans ses pensé. Partir ou rester ?

-Marion ?

Peut-être si elle avait répondue oui l’échange aurait peut-être put être plus simple. Mais non. Elle se taisait toujours. Elle regarde le garçon. Puis celui-ci ouvrit les yeux. Elle regarda un instant puis détourné le regard.

-Ca va ? Viens et assis toi ici .

Marion s’assit sans rien dire.

Voyant quelle ne parlais pas il se dit qu'elle ne voulais pas parlé ou qu,elle ne pouvais pas parlé. La voyant sasoir, il en déduisit qu'elle en était temporairement incapable.

-Comme le disait si bien ma mère, si t'es timide, raproche toi de ce qui te rend timide.

Il se cola sur marion.

-Si ce n,est pas sufisant continu encore.

il prit marion et il la déposat sur lui.

-Si tu n'en est toujour pas capable, et bien...

Il attendit quelques secondes et fermat les yeux.

Il reprit marion et la redéposat sur le coté et il se tassat, laissant marion respirer.

Il déposat sa main sur la menton de marion et tournat sa tete doucement vers lui. Il raprocat sa tete et l'embrassat.

Alexis s'autorepoussat de marion et se levat.

-Désolé. il parlais comme s'il avant de la dificulté a le faire

Il partit tranquillement laissant a marion une chance de le ratrappé.

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