Après un grand accident (on poste ici pas ailleur)

La directrice entra dans la salle où régnait Alissa. Elle avait contacté les parents et son petit frère attendait dans la salle d’attende. Sa avait beaucoup choquée la directrice qu’Alissa ai essayé de se suicider. Elle s’approcha doucement de l’élève. Elle avait toujours sue qu’elle avait essayé plusieurs fois et les parents ne porteront pas plainte. Elle réfléchissait aussi si elle la gardait elle devrait faire encore plus attention… Sinon elle pourrait la transférer d’école. C’est vrai ! Savoir qu’il y a une folle dans l’école pourrait nuire à la réputation de l’internat. Elle y réfléchirait encore. Lentement elle se dirigea dans la salle d’attente et dit aux camarades de classe :
« Vous pouvez aller la voir mais faite attention hein … »
Et elle les accompagna jusqu'à la chambre.

Plusieurs élèves voulaient voir la 'folle' mais Eléonore trouvait ce surnom bête. Si elle avait tenté de se suicider et qu'elle réagissait brutalement, c'est qu'elle avait un problème... Etrangement elle avait l'impression de comprendre Alissa, un conportement de 'déjà vu'... Eléonore avait des habit simples, pull noir, jean et ses cheveux attachés en une grande tresse. Celle-ci regardait le visage de la jeune fille, il était pâle, triste. D'autre ados de Great-Green lui faisait des grimaces en disant "On fait moins la maligne, la fole dingue, hein ?!" Sans s'en rendre compte Eléonore se retourna et poussa violament les endouilles qui faisait des grimaces "Laissez-la tranquille, c'est pas parce qu'elle est faible que vous pouvez en profiter !" Elle chota dans un mur. Elle se laissa tomber au sol et éclata en sanglot : Ces murs d'hopital, un souvenir, un terrible souvenir, tenir la main de sa mère quand elle s'en allait doucement. Voir les gens mourrir sans pouvoir rien faire. Elle était tête baissée, triste : elle détestait les hopitaux, pour elle c'était comme un endroit ou on attend la mort, malgré que tout est blancs, elle trouvait les murs noirs et les lits mornes...

Alissa était dans un profond coma et elle parcourait un rêve. Un rêve terrible. Elle était de nouveau dans les champs de terre où les corbeaux attaquaient les épouvantails.
Ils y en avaient plusieurs. Dont deux qui lui faisaient de terribles grimaces. Soudainement une voix faible se fit entendre –la folle
Elle se rendit compte qu’elle était allongée sur la terre humide. Un des épouvantails poussa les autres puis chotta dans quelques choses. Se fit un Bank puis il y eut des pleurs.
Elle était jeune. Une fille de 11-12 ans à l’époque. Elle se rappelait cette nuit. Son rêve c’était arrêtés pour un recommencer un. Mais ce n’en était pas un… C’était plutôt un souvenir. Alissa avait presque 12 ans. Elle faisait sa maligne avec son look plutôt rebelle et son petit copain qui était plutôt un gars que tout le monde craignait. Elle avait fugué un soir pour aller en boîte avec lui et ses copains. Quand il eu but une dizaine de bières il l’emmena dehors en affirmant qu’il faisait trop chaud… Il l’avait plaqué contre le mur brutalement Alissa s’en souviens … Il avait encore une bière à la main et il a casé le lampadaire afin d’avoir un peu d’intimité. Là tout c’est passer vite et il l’a violait. Revoir ses images faisait beaucoup souffrir la jeune fille. Il était partit. Enfin. Et il pleuvait, même drachait. Le t-shirt de la jeune fille était presque déchirés en deux. Elle pleurait sous la pluie quand deux policiers l’eurent trouvé. Effectivement ses parents avaient appelés la police afin de retrouver la jeune fugueuse.

Emilie entra dans la chambre d'hopital d'Alissa avec les autres élèves. Elle ne se moquait pas comme les autres le faisaient.
Bien entendu, Alissa lui avait fait très mal au coeur en lui chippant Alexandre mais ce n'était pas sur celle-ci qu'Emilie était fachée. C'était sur Alexandre. Après tout c'est lui qui avait été au rendez-vous, c'est aussi lui qui était content lorsqu'elle l'avait embrassé. Et c'est aussi lui qu'Emilie avait vu faire un clin d'oeil charmeur à Alisson dans le parc , le jour même. Elle se dirigea lentement vers le lit de la jeune fille et regarda son visage endormi. *Elle a du subir tellement de choses pour être comme ça! La pauvre!* Ensuite elle dit tout bas, sans s'en rendre compte : "Courage Alissa! Tu t'en sortira!"

Alexandre vint, les mains dans les poches. Il ne s'était toujours pas bien réaliser qu'Alissa était à l'hopital... Mourir ? Pourquoi elle aurait essayer ? Alexandre se posa un tas de questions. Peut-être qu'il aurait du être plus a son écoute ! L'aider ... Mais il ne s'avait pas. Il s'aprocha de son oreille, et lui chuchota quelques mots :" Alissa... Je t'aime tu sais ! " Il lui posa un doux baiser sur son front et s'en alla en courant, versant quelques larmes sur le sol froid.


(( Déso d'avoir été long à répondre, pas le temps ! Mais sinon j'ai pas trop d'inspi :/ ))

Antoine arriva en courant. On lui avait dit qu'elle était encore endormie, mais il voulait la voir ! Quand Antoine arriva, et que le lit et des élèves se dressa devant lui, il marcha jusqu'au lit d'Alissa. Il s'abessa et lui dit :" Petite soeur..." Il la regarda et dit d'un ton sévère "Maman ne sera pas contente tu sais !" Il se calma quand même et éternua. Antoine regarda alors Alexandre courir vers la sortie *Quel idiot celui là !* Il caressa les cheveux de sa grande soeur et s'adressa à elle "Guérie vite, je t'en suplie !" Il se leva et alla s'asseoir sur une chaise près du lit.

Eléonore était en pleine crise comme elle en avait déjà eu.. Elle sorti de la chambre en courant, cherchant désespérément la sortie, elle voyait flou. La jeune fille s'appuyait contre les murs. zigzagant dans les couloirs de l'hopital elle voyait n'importe quoi, les murs devenaient noirs, le sol aussi, les gens eux, devenaient gris.. Elle cria "Ne m'approchez pas ! Ne.. Ne me touchez pas !" La jeune fille tomba au sol "Non.. Ne me laissez pas, je veux pas y retourner.." Trop tard : elle sombra dans son cauchemar. Eléonore était dans le noir, il n'y avait personne autour mais des cris résonnaient "Aide-moi, aide-moi, aide-moi.." Elle tourna dans tout les sens pour trouver la personne qui criait, rien. "Mais je ne sais pas, je ne sais pas où tu es ! Dis-le moi !" Elle couru pendant cinq minute mais il n'y avait pas de fin à cette espèce de trou noir. La voix recommença à résonner dans ce grand vide "Mais fait un effort..." Le jeune adolescente couru de plus belle, en vint. "Je n'y arrive pas.." "Quoi ? tu dois..." "Non, je ne sais pas, je suis désolée ! je.. je.." "Tais toi !" Quelqu'un surgi du noir, il portait un grand habit brun avec un capuche, on ne voyait pas son visage. Il s'approcha d'Eléonore et voulu l'étrangler "Non, non je ne veux pas.. Je.." Elle bougeais dans tous les sens..

((Pour ceux qui n'aurait pas pu voir dans le dortoir des filles, Eléonore fait des crises du genre dont elle ne se souviens plus après, elle ne les contrôle pas non plus))

Alissa se réveilla. Dans une salle toute blanche. Il y avait un beau piano de la même couleur et une fille jouait un bel air. Sa troublait Alissa qui avait placées ses mains sur sa tête et fermer les yeux d’un air désespérer. Peu après ce fut une autre musique. Elle rouvrit donc les yeux et découvrit un décor sinistre dans une sorte de cathédrale abandonnée. Le piano était devenu noire et la femme était devenue gothique. Elle jouait un air étonnamment parlant de la vie d’Alissa. Il n’y avait aucune parole mais Alissa s’y comprenait.
Elle regardait la touche tapée. Quelqu’un courait. Elle se retourna plusieurs fois mais il n’y avait personne d’autre quel et la pianiste. Soudainement elle se réveilla vraiment. Elle était dans une chambre d’hôpital. Elle avait déjà vu une fois cette scène. Ses parents s’inquiétant et qui lui disent. On va te changer de collège.
Brusquement toute des images lui revinrent à la tête. Lise et Lisa, Alexandre et son petit frère. Ce n’était pour elle qu’un suicide de plus…
Se qu’elle ferait pour Alexandre restait à voir par la suite.
Elle se leva. Il y avait tout le monde dehors qui c’était précipitée pour aider une fille qui semblait rêver d’une chose bizarre. Alissa s’approcha de la fenêtre et monta sur l’appuie de fenêtre. Elle marcha jusqu’à l’autre côté. Là où on ne pouvait ouvrir la fenêtre qu’en aussi au battant.
Elle balança ses pieds d’un le vide pendant un moment regardant encore ce monde pourri qu’elle avait vu biens des fois. Beaucoup trop de fois. À l’instant où elle allait se laisser glisser dans le vide quelqu’un l’appela. Elle c’était faite remarquée. Elle soupira en voyant son frère et ses parents. Mais il n’y fit pas plus attention même si ils l’appelaient.

((J'anonce brievemment mon retour dans l'internat ! ))

((Les gens sont restés près de toi, se sont des médecins qui m'ont aidée c'est tout, c'est TA visite pas la mienne ))